les yeux comblés de larmes que je n'ai pas pleurées j'ai honte cette Etrangère se peint se barbouille face au Monde coupable et je n'ai pas besoin d'elle ni de son amour ni d'enquêter sur son pull rayé elle n'est pas sa propre œuvre elle-même et puis son image coule mais Charlotte ne décline pas elle ne pose pas son corps en désordre elle aime son visage découvert je la déguste quand penser c'est avoir mal aux yeux ses seins profusion de couleurs souriante plus puissante qu'un sujet et ne se donne pas j'ai besoin de cette occasion mon plaisir naît de ce qui jaillit d'elle sans la changer et puis son visage bariolé sa peur non pas d'énigme je la veux femme à voir si elle apparaît cela doit être possible indifférente pourtant jamais ce martèlement de la pensée boussole du moindre mal cette désespérée tentation de jouir de l'autre de ne pas avoir honte d'une extase sans horizon je ne la connais pas elle n'a pas sa place dans le monde rien ne la montre Etrangère que je n'atteins pas qui ordonne la pensée je me retiens trop de monde dans ces rues envie d'être belle mais se souille envie de figer la flamme de photographier la danse de la vie salée de poser pour une écœurante pensée de suivre le ballon rouge pas même sa propre œuvre et puis indifférente à mon cette ce cette enfin cette chose et puis son air tendre la déshabiller sur les pavés ce va-et-vient rien n'oblige à crier j'ai envie si elle n'est rien cela n'existe pas riante cruelle mais je ne compte pas les brebis et j'ai la taille de ce que je vois et puis je ne veux pas de son pardon ni amortir le choc juste la toucher non pas envie mal au ventre tellement elle parle de sperme mais ne se dit pas je ne l'écoute plus envie de voir sa croupe de mordre sa langue toucher ses larmes je ne veux pas explorer son arrière monde ni chercher le pourquoi des genoux des genoux meurtris envie d'entendre ses soupirs qu'elle maquille son absence et la confusion des couleurs les poils de son corps brisé et son fond d'indifférence bleue et se rayures envie de violons inouïs de ne pas toucher ses yeux tristes qui me fixent dans un lieu obscur et puis elle crie marche quand je joue à la brebis embrasse la toile elle ne m'aime pas ni les autres voisins promis à la mort gamine sans intention la fleur de l'inutile immédiate et si je ne comprends pas je prends là le pari que ça m'amusera aussi et puis rien pour moi apeurée distraite rien je m'en fous esseulée non qu'elle porte ça pour moi aussi je la veux je ne lui fait rien et puis jouir de la laideur je fais le chien expliquant sa pudeur ses peurs je ne suis rien pour elle envie de la voir se baigner et fuir dans la maladie et la mort qu'elle dorme souriante au-devant du monde et puis et puis ma résistance mon besoin de voir contre son génie ordinaire mes yeux brûlés moi aussi je bande et ne la traque pas enfin elle n'a pas fait l'amour